Aloalo topped by two Birds

• Private Belgian collection

Photo credit : Studio Asselberghs – Frédéric Dehaen

Nias Figure

Private Belgian collection, before 2000

 

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MALE FIGURE « ONILE »

• Private collection, acquired around 1975

• Conde Prado, Joyas del Niger y del Benue, 2003, p. 42, n° 17

• Guardiola, Africa colecciones privadas de Barcelona, 2003, p. 42

• Casanovas et Gaspar, Origines, Artes Primeras. Colecciones  de la Peninsula, 2005, p. 338-339, n° 147

• Madrid, Museo Casa de la Moneda, Joyas del Niger y del Benue, 16 September – 16 October 2003

• Barcelone, Fundacion Francisco, Africa. Colecciones privadas de Barcelona, 27 February – 30 June 2003

• Madrid, Centro Cultural del Conde Duque, Origines, Artes Primaras. Colecciones de la Peninsula Iberica,19 Octobre 2005 – 8 Janvier 2006

Photo credit : Studio Asselberghs – Frédéric Dehaen

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SENUFO FEMALE FIGURE

• Dr. Richardson, Paris, ex. Dupperier

• Pierre Dartevelle, 2015

• P. De Backer, Temse, Belgium, acquired from the above

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CHOKWE FEMALE FIGURE

• Galerie Pierre Dartevelle

• P. De Backer, Temse, Belgium, acquired from the above

• DARTEVELLE Galerie, Collections privées, exhibition catalogue, June 2015, cat. 7

• JORDÁN Manuel, Chokwe! Art and Initiation Among Chokwe and Related Peoples, Birmingham Museum of Art, Munich: Prestel, 1998

Photo credit : Studio Asselberghs – Frédéric Dehaen

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La tête sphérique, de forme pleine et arrondie, présente un front large qui s’étend jusqu’à la couronne. Les yeux en forme d’amande sont à peine ouverts sous les paupières supérieures lourdes. Les orbites creuses sont taillées dans des arcs, les sourcils délimités en relief au-dessus, s’étendent jusqu’à ce qu’ils rencontrent le nez. Les lèvres naturalistes sont délicatement ourlées. Le visage est harmonieusement équilibre entre l’élégante barbe, composée de rangées de petits rectangles, et le diadème légèrement relevé. Le creux des oreilles se présente sous la forme d’arcs semi-circulaires. La coiffure est composée de quatre lobes ; quatre fins boudins horizontaux passent au-dessus de quatre fins boudins verticaux, formant le motif cruciforme des tresses, emblématique de la statuaire Hemba. Le cou cylindrique est allongé, la pomme d’Adam saillante. Le plan des épaules est horizontal. Le torse est plus étroit sous les bras, évasé à la partie supérieure de la poitrine, gonflé vers le ventre. Les bras symétriques sont légèrement fléchis et sépares du corps ; les mains posées latéralement sur le bas-ventre, attirant l’attention sur le centre symbolique de la figure, l’ombilic, signifiant la vie et la persistance de la lignée.

L’ombilic en forme losangée est caractéristique du style des singiti des Niembo de la Luika. Le dos a des omoplates saillantes, le fessier est plutôt rebondi. Les membres inferieurs massifs s’achevant par des pieds en forme de raquette. Le socle circulaire est légèrement bombe. La belle patine sombre et brillante indique un long usage rituel. Bien que les caractéristiques faciales soient différentes, reflétant l’individualisation de chaque figure d’ancêtre, un singiti vendu par Sotheby’s a New York en 2013 (16 mai, lot 152) est vraisemblablement l’œuvre du même sculpteur ou du même atelier que la statue de la collection Vérité. La forme spécifique de la coiffure en forme de croix est très semblable, tout comme les omoplates, la forme de l’ombilic, les mains et les jambes. La statue Hemba de la collection Vérité peut également être comparée avec plusieurs autres œuvres du style de Niembo de la Luika : citons par exemple une statue dans la collection de l’Art Institute of Chicago (#1972.453, publiée dans Neyt, 1977, pp. 200-201, fig. V-7), un autre exemplaire conservé à l’Institut des Musées Nationaux du Congo (# 72.746.70, Neyt, 1977, pp. 198-199, fig. V-6), et un singiti portant des armes, conservé dans une collection privée belge (Neyt, 1977, pp.188-191, fig. V-2) avec la même coiffure distincte aux quatre lobes. Ces trois statues, probablement des membres de la même lignée dynastique, ont certainement été conservées ensemble dans leur sanctuaire. Le singiti de la collection Vérité, jusque-la inconnu se rajoute au corpus restreint de cet important atelier Niembo actif durant la seconde moitié du XIXe siècle.

HEMBA ANCESTOR FIGURE

• Pierre Loeb collection, Paris

• Pierre and Claude Vérité, Paris

• African Negro Art, The Museum of Modern Art, New York, 18 March-19 May 1935

• Les Arts Africains, Cercle Volney, Paris, 3 June – 7 July 1955

• La sculpture en Afrique Noire, Maison des Arts et Loisirs de Sochaux, Sochaux, 23 May-28 June 1970

SWEENEY, James Johnson, African Negro Art, Museum of Modern Art, New York, 1935, p. 51, n° 42

• Les Arts Africains, Paris, n°289, ill.

VÉRITÉ P., La sculpture en Afrique Noire, Sochaux, 1970, n° 126, ill.

NEYT François, Remarquable Effigie d’Ancêtre Hemba styles Niembo de la Luika R.D.C, 2019, pp. 15 

ont essentiellement célébré l’ancêtre masculin de haut rang qui, dans cette société, attestait et légitimait le pouvoir et la possession de la terre. Ces statues étaient conservées dans les maisons funéraires ou dans les maisons des chefs. Voir LaGamma (Heroic Ancestors, 2012, pp.225-270) pour une importante étude récente sur la grande statuaire Hemba. En 1977, François Neyt a réalisé une étude exhaustive sur l’art Hemba dans La grande statuaire Hemba du Zaïre. Neyt a établi différents groupes au sein même de cette production artistique. Selon ses caractéristiques stylistiques, notre statue d’ancêtre se rattacherait au groupe 6 correspondant au style de la région des Niembo, un groupe Hemba du nord qui habite les rives de la rivière Luika.

La tête sphérique, de forme pleine et arrondie, présente un front large qui s’étend jusqu’à la couronne. Les yeux en forme d’amande sont à peine ouverts sous les paupières supérieures lourdes. Les orbites creuses sont taillées dans des arcs, les sourcils délimités en relief au-dessus, s’étendent jusqu’à ce qu’ils rencontrent le nez. Les lèvres naturalistes sont délicatement ourlées. Le visage est harmonieusement équilibre entre l’élégante barbe, composée de rangées de petits rectangles, et le diadème légèrement relevé. Le creux des oreilles se présente sous la forme d’arcs semi-circulaires. La coiffure est composée de quatre lobes ; quatre fins boudins horizontaux passent au-dessus de quatre fins boudins verticaux, formant le motif cruciforme des tresses, emblématique de la statuaire Hemba. Le cou cylindrique est allongé, la pomme d’Adam saillante. Le plan des épaules est horizontal. Le torse est plus étroit sous les bras, évasé à la partie supérieure de la poitrine, gonflé vers le ventre. Les bras symétriques sont légèrement fléchis et sépares du corps ; les mains posées latéralement sur le bas-ventre, attirant l’attention sur le centre symbolique de la figure, l’ombilic, signifiant la vie et la persistance de la lignée.

L’ombilic en forme losangée est caractéristique du style des singiti des Niembo de la Luika. Le dos a des omoplates saillantes, le fessier est plutôt rebondi. Les membres inferieurs massifs s’achevant par des pieds en forme de raquette. Le socle circulaire est légèrement bombe. La belle patine sombre et brillante indique un long usage rituel. Bien que les caractéristiques faciales soient différentes, reflétant l’individualisation de chaque figure d’ancêtre, un singiti vendu par Sotheby’s a New York en 2013 (16 mai, lot 152) est vraisemblablement l’œuvre du même sculpteur ou du même atelier que la statue de la collection Vérité. La forme spécifique de la coiffure en forme de croix est très semblable, tout comme les omoplates, la forme de l’ombilic, les mains et les jambes. La statue Hemba de la collection Vérité peut également être comparée avec plusieurs autres œuvres du style de Niembo de la Luika : citons par exemple une statue dans la collection de l’Art Institute of Chicago (#1972.453, publiée dans Neyt, 1977, pp. 200-201, fig. V-7), un autre exemplaire conservé à l’Institut des Musées Nationaux du Congo (# 72.746.70, Neyt, 1977, pp. 198-199, fig. V-6), et un singiti portant des armes, conservé dans une collection privée belge (Neyt, 1977, pp.188-191, fig. V-2) avec la même coiffure distincte aux quatre lobes. Ces trois statues, probablement des membres de la même lignée dynastique, ont certainement été conservées ensemble dans leur sanctuaire. Le singiti de la collection Vérité, jusque-la inconnu se rajoute au corpus restreint de cet important atelier Niembo actif durant la seconde moitié du XIXe siècle.

Photo credit : Studio Asselberghs – Frédéric Dehaen

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Pair of Buddha Heads

• Macharis-Meyvaert, Deurle, acquired from S. Grusenmeyer, Antwerp, on 28 june 2002

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An elegant ritual conch with an attractive deep-green patina, decorated with scalloped motifs and lotus petals.
Conches of this type were made either as vessels for pouring holy water (lustration) or as sacred musical instruments.

For two related conches, see cats. no. 154a and 154b in Emma Bunker and Douglas Latchford, Adoration and Glory: The Golden Age of Khmer Art, Chicago: Art Media Resources, 2004.

BRONZE RITUAL CONCH

Temporarily Withdrawn/Reserved

• From the Estate of a private English collector. Acquired in the 1970’s.

• Jonathan Tucker & Antonia Tozer, 2019, acquired from the above

Photo credit : Studio Asselberghs – Frédéric Dehaen

For two related conches, see cats. no. 154a and 154b in Emma Bunker and Douglas Latchford, Adoration and Glory: The Golden Age of Khmer Art, Chicago: Art Media Resources, 2004.

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Cette très belle tête est coiffée d’un haut chignon décoré de tresses dressées verticalement et couronné d’une fleur à huit pétales. La coiffure striée est infléchie sur les tempes et la chevelure s’orne de tresses verticales qui descendent vers la nuque. Un diadème évasé vers le haut est finement noué à l’arrière et se compose de trois rangs de perles, losanges fleuris et petites feuilles verticales.

Le visage est traité avec soin, on le remarque notamment au niveau de l’incision des yeux, du modelé du nez et de la bouche. Les arcades sourcilières légèrement ondulantes forment une ligne continue presque tranchante typique du Xe siècle et plus particulièrement du style Bakheng.

Cette belle tête sculptée dans un grès de qualité présente un modelé archaïsant hérité des sculptures du Xe siècle. Elle est un parfait compromis entre la production puissante et naturaliste du Xe siècle et celle du XIIe siècle remarquable pour la finesse de ces ornementations.

Cette tête nous est parvenue avec une main de la même sculpture tenant une massue, attribut qui nous renseigne sur l’identité de la divinité comme étant Vishnu.

Head of a Deity

• Gérard Wahl-dit-Boyer (1944-2014), Paris

• GRUSENMEYER Karim & Isabelle, WOLINER Damien, A World of Sculptures, Brussels, 2016, n°43, p.138

 

Le visage est traité avec soin, on le remarque notamment au niveau de l’incision des yeux, du modelé du nez et de la bouche. Les arcades sourcilières légèrement ondulantes forment une ligne continue presque tranchante typique du Xe siècle et plus particulièrement du style Bakheng.

Cette belle tête sculptée dans un grès de qualité présente un modelé archaïsant hérité des sculptures du Xe siècle. Elle est un parfait compromis entre la production puissante et naturaliste du Xe siècle et celle du XIIe siècle remarquable pour la finesse de ces ornementations.

Cette tête nous est parvenue avec une main de la même sculpture tenant une massue, attribut qui nous renseigne sur l’identité de la divinité comme étant Vishnu.

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Ce torse de divinité aux proportions longilignes, à la silhouette sensuelle et gracile présente une musculature fine et bien équilibrée. Le ventre plat possède un nombril encadré de quatre fines lignes.

Le sampot caractéristique de l’école du Baphuon est ajusté près du corps prenant naissance sur le haut des hanches et descendant juste sous le nombril. La ceinture est ornée de motifs floraux et placée bas sur les hanches où se noue le pan antérieur rabattu en feuilles stylisées, lequel se ferme dans le dos en nœud papillon. Les jambes sont fines et longues, légèrement arquées tandis que les genoux sont simplement suggérés.

Couvrant la plus grande partie du XIe siècle, le style Baphuon s’inscrit comme le plus élégant et le plus épuré de l’Art Khmer dont cette sculpture est la parfaite illustration.

Torso of a Deity

• Private Belgian collection, Brussels, 2003

• GRUSENMEYER Karim & Isabelle Grusenmeyer, WOLINER Damien, A World of Sculptures, Brussels, 2016, n°40, p.137

Photo credit : Studio Asselberghs – Frédéric Dehaen

Le sampot caractéristique de l’école du Baphuon est ajusté près du corps prenant naissance sur le haut des hanches et descendant juste sous le nombril. La ceinture est ornée de motifs floraux et placée bas sur les hanches où se noue le pan antérieur rabattu en feuilles stylisées, lequel se ferme dans le dos en nœud papillon. Les jambes sont fines et longues, légèrement arquées tandis que les genoux sont simplement suggérés.

Couvrant la plus grande partie du XIe siècle, le style Baphuon s’inscrit comme le plus élégant et le plus épuré de l’Art Khmer dont cette sculpture est la parfaite illustration.

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